Les 12 piliers de la foi

Posté par Kerlomar

Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche. L'Apocalypse de Jean.


Lundi 15 décembre, 01 heure du matin, Moldavie.

La nuit était tombée depuis plusieurs heures lorsque le petit groupe arriva en vue du village. Les dernières lumières que laissaient passer les fenêtres leur permettaient de distinguer les contours du villages et ses limites précises. Celui-ci devait se composer de quelques maisons, mais, d'après les soupirs de soulagements que poussèrent les membres du groupe, ils étaient arrivés au bon endroit. Ils descendirent la colline et s'arrêtèrent à quelques mètres de l'entrée du village.

Messieurs, préparez vous ! Prenez vos armes, nous avons un travail à effectuer dans ce village maudit. Que Dieu vous vienne en aide.

Les hommes allumèrent des torches goudronnées et commencèrent à sortir épées, haches et arbalètes chargées. Aucune arme à feu. Ils vêtirent aussitôt de grandes cagoules rouge sang et pénétrèrent dans le village. Aussitôt, ils se séparèrent et commencèrent à pénétrer dans plusieurs maisons, tuant les habitants dans leur lits, sans faire de cadeaux, hommes, femmes et enfants y passaient, quelque soit leur âge. Inflexibles, dur, sévères, ils distribuaient la mort sans bruit et ne laissaient aucune chance à leurs victimes de réagir. Le manque d'armes à feu leur donnait un avantage car leur attaque ne faisait aucun bruit. Quand le massacre fut fini, tous se retrouvèrent sur la place principale, vêtements et armes couvertes de sang.

Alors messieurs, grâce à vous le travail est accompli. Installons le signe et partons d'ici avant la venue du jour et des curieux. avez vous eu tous ceux que nous devions trouver ?
Tout le village a été passé au fil de l'épée père abbé, comme nous deviosn le faire.
Très bien mes frères. Frère Sébastien, laissez le symbole de notre passage puis partons.

Sébastien se détacha du groupe et prit la pelle qui portait dans son dos. Il commença à creuser un trou au milieu de la place du village après avoir enlevé la neige puis fit signe à d'autres de ses frères. Trois retournèrent à l'entrée du village et transportaient avec eux une grande croix de trois mètres qu'ils plantèrent dans le trou avant de le reboucher. Ensuite, Sébastien l'aspergea d'essence et y mit le feu avec un briquet. Il laissa un mot écrit de sa main, un passage de l'Apocalypse signé en bas par un sceau de cire, représentant une rose couverte de cendre. Et juste en dessous du sceau, il était possible de lire :

- Quand le monde est menacé, la Rose noire déploie ses épines et frappe pour purifier son environnement. L'Ordre de la Rose Noire est de retour et frappera plus fort que jamais.

Chisinau, capitale moldave. Jeudi 18 Décembre, 11 heures du matin, église orthodoxe du centre ville.

Les douze membres du groupe étaient dans l'église et priaient comme à leur habitude. Tous étaient vêtus d'une robe de bure noire tenue par une simple corde à la taille. Chez eux, l'absence de tonsure était significative. Soudain, la porte de l'église s'ouvrit et un adolescent d'environ seize ans entra en courant, ses pieds nus glissant sur le sol. Il se pencha sur le père abbé et lui glissa quelque chose à l'oreille avant que celui-ci ne lui dise de le retrouver dans la sacristie.

Mes amis, j'ai une grande nouvelle à vous annoncer. Le Vatican a entendu parler de nos actions dans ce pays et souhaite nous voir continuer nos attaques contre les lieux d'habitations humaines qui soutiennent les créatures de l'Enfer. Et comme le Vatican sait que les armées loups garous et vampires se regroupent, sa Sainteté a décidé d'en lever une pour les combattre pleinement. Et ils nous envoient quelques jeunes moines pour que nous les formions et que nous en fassions des guerriers aguerris.Mais ce soir, nous partons dans un nouveau village, préparez le matériel, nous partons dans une heure.

Les douze moines achevèrent leur prières puis retournèrent dans leur cellule pour se préparer et revenir prêt d'une demi heure après avec des armures de plaque sur leur robe de bure noire, une épée et une dague à la ceinture et un gros sac à dos d'où on pouvait voir sortir le manche d'une arbalète. Ils sortirent et montèrent dans le bus qui les attendait.

Un petit village à 200 kilomètres au nord de Chisinau. 00 heures 27.

La neige s'était remise à tomber pendant le voyage. Les routes déjà difficilement praticables s'étaient avérées encore plus délicates à utiliser. Mais les moines étaient devant le village, sur quelques hauteurs et regardaient l'endroit où résidaient leurs futures victimes. Sur un signe de leur chef, tous sortirent leurs armes en entrèrent dans le village. Mais un homme assis sur un puits les regardait d'un air souriant et leur montra des canines très aiguisées qui reflétaient à la lumière de la lune, malgré la chute de neige. Le vampire souffla dans une corne avant qu'un carreau d'arbalète siffle et ne l'atteigne en plein coeur. Soudain, un groupe de personnes arriva du centre du village et l'inquiétude se ressentit dans le groupe de moines.

Des vampire,s on nous attendait. Au combat.

Tandis que les vampires arrivaient en courant dans la neige en les encerclant, les moines se mirent en carré et armèrent leurs arbalètes pour les décharger sur leurs ennemis. Les arbalètes à répétition étaient nouvelles pour eux et ils n'en utilisaient que depuis trois ou quatre attaques. Les vampires désarçonnés par ce type d'armes commencèrent à battre en retraite et les moine,s par groupes de deux se jetèrent à leur poursuite.

Sébastien garda son arbalète en main et poursuivis un groupe de quatre vampires dans une ruelle. Mais en y arrivant, ceux ci disparurent et Sébastien et son compagnon se regardèrent en souriant. Ils aimaient la chasse et celle-ci leur promettait d'être amusante. Un vampire passa devant eux et Sébastien le tua de deux carreaux. Son compagnon fit de même puis ils sortirent leurs épées et commencèrent à croiser le fer avec les deux derniers.

La bataille dura pendant plusieurs heures et quand les moines se retrouvèrent sur la place principale, ils ne comptaient que des blessés légers, quand le village entier avait été nettoyé. Sébastien creusa un trou dans la neige et planta la croix avant de la faire brûler, puis posa le même mot, avec le même passage de l'Apocalypse. Puis tous repartirent pour Chisinau.

Posté par DragonStorm

QG DE L'ARMÈE POURPRE: SIBÈRIE 17 DÈCEMBRE

Un soldat courait a travers des couloirs en béton, il hurlait pour qu'on lui laisse la place, il portait un papier qui semblait aussi important que l'originale de la bible. Le soldat s'engouffra dans un ascenceur qui monta rapidement, il sortit en gardant le rythme, finalement il arriva devant une lourde porte en bois qui portaient le blason de l'armée pourpre, une faucille et un marteau entrecroisé au-dessus de deux eclaires le tout sur fond rouge. Il frappa, une voies puissante ce fit entendre, le soldat entra dans la piéce l'ambrissé et finement décoré, il se mit a un métre du bureau en acajou massif et se fixa dans un parfait garde a vous.

Soldat Dimitriënko, transmission au rapport mon colonel !!

Le siége en cuire se retourna, Alexeï Foudorvosky colonel en chef de l'armée pourpre apparut, une cigarette au coin de la bouche. Il scruta le soldat.

Et bien soldats Dimitriënko vous semblez éssoufflé.

Mon colonel un de nos avant poste a été attaqué la nuit derniére, les pertes...

Alexeï leva une main pour faire signe au soldat de ce taire.

d'une cinquantaine d'hommes, et de collaborateurs humains, l'ennemis reste non-indentifiés on sait seulement qu'ils utilisent des arbalétes et qu'ils sont vêtu de bure.

Le soldat resta interloqués, c'était mot pour mot le contenut du message qu'ils avaient reçut de la part d'un des survivants avant que ce dernier ne soit tué. Alexeï se leva, le soldat remaquat alors que le Alexeï ne portait pas son uniforme habituel, mais un treillis.

Je suis au courant de tout cela, mais je voulais voire combien de temps mettrez les communications pour transmettre l'info. Je vous ferez part de mes observations a mon retour.

Il ouvrit une porte vitrée de son bureau, un vacarme assourdissant de retors se fit entendre, un Hind attendais.

Si nous l'emportons ce ne sera qu'une mise au point, si nous perdons se sera un point final.

Sur ces mots il courut courbé jusque dans l'hélicoptére qui décollat immédiatement.

ALENTOURS DE CHIESNAU : 18 DÈCEMBRE 0400 GMT

Alexeï scruté le village, du haut d'une colline le surplombant, il avait troqué son treillit vert pour un blanc comme tout le régiments qui l'accompagné, il avait suivit l'étrange cérémmonie de mise a feux d'un objet par les hommes en robe de bure. Un soldat entiérement vêtu de blanc et portant une cagoule blanche s'approcha et lui parla tout bas.

Mon colonel les troupes n'attendent que votre ordre.
Alors ne perdons pas de temps.


Le colonel repartit avec l'homme de l'autre côté de la colline, en bas les hommes était massé, principalement des fantassins armée de AK-47 quelques'un avait des mitrailleuse "douchka", il avait aussi deux bataillons de commandos d'artillerie avec leur tubes de mortiers, et un peloton de transmission, tous était en blanc pour ce fondre dans le décort. Et tout ce petit monde étaient des vampires, recruté parmis des mercenaires et ancien commados. Une armée moderne de vampires entrainnée et motivé.

Le colonel rejoignit les différents officier et sous-officier, l'un d'eux déplia une carte, repésentant le village.

Le village est composé d'une rue principale et de petite ruelle qui serpentent. Si nous arrivons a prendre la grande rue et la place de l'église, le reste ne sera que du nettoyage.

Non je les ai observé ils sont sur le départ, on vas scinder la troupe en deux, un petit groupe réinvestira le village et l'autre suivra les homme en bure.

Les gradés se regardérent, Alexeï soupira il prit une carte de la région. Et montra une ville.

s'il n'occupe pas cela veut dire deux choses la premiére c'est qu'il font du nettoyage, la seconde c'est que le gros de leur troupes n'est pas ici, il doit sagir d'un bataillon en service commandé. Si on les tues maintenant d'autres reviendront, il faut frapper la tête. Donc ordre de silence et on les suis aprés on avisera.

L'un des sergeant demanda si le colonel savait ou les hommes se dirigeait. Le colonel indiqua Chiesnau sur la carte. Plus tard les observateur informérent que la troupe était partit, aussitôt un groupes d'homme pénétra dans la village desert. Le colonel toujours sur sa coline les observa quelque secondes plus tard la radio grésilla.

Nous avons pris position, aucune résistance, il semble qu'ils se soient livré a quelque rituel sur le place de l'église, les reste d'une croix et un texte on été découvert.

Le colonel réfléchit, les religieux auraient anéanti tout un village pour faire cela, peu probable, mais au cas ou.

Prenez des photos et envoyé les au QG, ils nous diront peut-être a quoi sa correspond, en attendant ne touchez a rien et fortifié l'endroit au cas ou.

Puis le colonel fit donner l'ordre de ce mettre en mouvement, les hommes de l'armée pourpre se mirent en route silencieusement a la suite des hommes en bure.

Posté par Diurn

Jeudi 18 Décembre, Aubagne – France, 04 heure du matin.

Aubagne, ville pas vraiment touristique, mais qui a un certains charme. On y compte plus le nombre de boutique mettant en vitrine des santons. Et la fierté de la ville, les fameux santons de la famille Scaturo. Meilleur artisan de France dans son domaine, des détails magnifiques, aussi vrai que nature.

Mais c’est aussi son collège privé, le collège Sainte Marie. Très bon établissement dans lequel les professeurs ne laissent pas tomber leurs élèves. Ils sont assez motivants. Pour y accéder il faut longer une ruelle, monter plusieurs marches et passer le portail.

Mais si l’on suit les marches, alors on atterrit dans une autre ruelle qui passe derrière le collège. Si l’on suit le chemin avant la ruelle, alors on redescend dans une végétation relativement danse qui vous cache des regards indiscrets. Un endroit parfait pour se planquer et faire ses affaires tranquillement. Le collège interdit la cigarette à l’intérieur et autour de son enceinte, aussi les petits jeunes y courent dès que possible pour s’en fumer une.

Les mégots en sont d’ailleurs la preuve. Et à une heure si tardive, le lieu était censé être désert. Mais il y avait une personne, avec une clope à la bouche, qui était là. Attendant quelque chose ou quelqu’un. Après quelques minutes une autre personne fit son apparition.

Ah quand même !!
Je suppose que c’est toi Jack .
Ouai l’Corbeau…j’peux savoir pourquoi on m’a rappelé ?
La Confrérié t’affecte une autre mission. Un Chasseur viendra finir le travail ici.
D’la bleusaille !? J’commence à m’dire que la Confrérie perd la tête…
Malgré tout le respect que je te dois, ne remet pas en doute les décisions de la Confrérie.

La Confrérie. Une organisation intouchable, invisible de la communauté européenne car n’existe tout simplement pas à leurs yeux. Elle est pourtant bien réelle, ses membres sont juste des “fantômes” qu’il est impossible de suivre. Soit parce que les témoins ne sont plus là pour en parler. Soit parce qu’il n’y avait simplement pas de témoin.

Les Corbeaux sont des membres passifs dans le sens où leurs rôles se limitent à trouver des informations, les transmettre à la Confrérie et à transmettre les ordres de cette dernière à diverses personnes. Les Chasseurs par exemple. Eux sont des membres actifs, puisque leurs rôles est d’exécuter les ordres donnés.

Les principaux ordres étant la destruction et l’élimination des êtres de la nuit. Les Chasseurs sont les membres au bas de l’échelle. Décliner les divers rangs serait trop long. Mais la personne nommé Jack a le rang d’Ecclésiaste. Bizarrement cela n’à pas grand chose à voir avec la religion. On peut le dire “prêcheur”, mais il n’use pas de mot pour prêcher. Les armes et la mort sont ses seules paroles…Et ces derniers sont en haut de l’échelle. Très redoutés par les leurs…mais aussi par les autres races.

Ouai ouai. C’est quoi le job ?
La Confrérie à eu vent d’un groupe de religieux qui combat les êtres démoniaques. L’Ordre de la Rose Noir est leur nom.
Chouette, encore des religieux en soutane. Je sens que je vais me marrer.
Ils sont peut-être en soutane, mais ils sont très efficaces. Il y a 3 jours, ils ont décimé tout un village d’humain qui soutenait ces créatures.
Rien que ça…plutôt balaise pour des moines.
La Confrérie veut que tu y ailles. Dans un premier temps, ce sera une mission de reconnaissance. Dans un second temps une prise de contact avec eux.
Et le troisième temps ?
Cela dépendra de leurs actions. La Confrérie n’aime pas beaucoup que l’on piétine ses plates bandes. Tu as toutes les informations nécessaires-la-dedans. Le reste tu le sauras en temps utile, comme toujours…

Le Corbeau lui tendit une enveloppe avant de prendre le large. Jack resta quelques instants avant de quitter lui aussi la ville. Les indications étaient claires, tout ce qui concernait le voyage avait été arrangé à l’avance. Il n’avait qu’à se laisser conduire. Une fois en Moldavie, il devrait se débrouiller pour rejoindre Chisinau.

Posté par Kerlomar

Le retour au quartier général avait été fait sans encombres et les douze moines parlaient en riant de la nuit qu'ils venaient de passer. Contrairement à l'image d'Epinal, ils étaient tous bien bâtis, athlétiques et très sportifs. De plus, les armes qu'ils portaient dans leur sac témoignaient d'une aptitude au combat peu connue chez els prêtres officiels. Une fois dans l'église, tous allèrent se coucher.

Le lendemain matin, les moines se levèrent aux aurores et accomplirent leurs rituels du matin. Dans le leiu de prière, jamais personne ne parlait, réservant cet acte seulement pour le dehors. Mais il leur arrivait à tous de sortir, ayant de la famille, des loisirs ou des "ami(e)s " à aller voir. Comme à son habitude, après l'office, Sébastien prit ses vêtements de civils et alla dans le centre ville de Chisinau et frappa à une petite porte qui s'ouvrit quelques minutes après sur une jeune femme tenant dans ses bras un enfant. Il sourit à la jeune femme puis prit le bébé dans ses bras avant d'entrer. Il ressortit plusieurs heures plus tard en reboutonnant sa chemise blanche impeccable et en regardant en arrière avec un sourire. Il retourna à l'église où els autres se préparaient déjà à une nouvelle excursion.

-Allez Sébastien, dépèches toi. Nous n'attendons plus que toi.

-Mes affaires sont prêtres, je me changerais dans le bus.

-Tu es encore allé voir l'autre personne ?

-Oui.

Sébastien courut à sa cellule pour prendre son sac et courut rejoindre le reste du groupe. Le bus les emmena à plusieurs centaine de kilomètres de chisinau et ils s'arrêtèrent au milieu d'un village. Ils cherchaient la mairie et y entrèrent en crochetant la serrure. Ils commencèrent à allumer des torches après avoir vérifié que els volets étaient bien fermés et montèrent au premeir étage.

Sébastien entra dans la chambre du fond du couloir et vérifia qu'elle était bien occupée. Un couple homosexuel y dormait. Le moine sortit son épée et l'enfonça dans la gorge du maire puis laissa ensuite un message disant que le mort était un vendu aux vampires. Puis il ressortit et aida les autres à planter la croix avant de la brûler et laisser l'habituel message, avant de repartir pour Chisinau.

Posté par DragonStorm

Alexeï était dans sa tente à éssayer de comprendre le but des moines combattants qui avait décimé le village. En lui même le village ne l'interessait que trés peu, il permettait simplement d'avoir une base d'observation d'une grande ville, Chiesnau en l'occurence, et ainsi prendre le poul des autorités du pays. Et puis les moines étaient partit sans rien détruire, il ne serait pas difficile de trouver d'autre humains a leur botte pour le repeupler.

Et si ce n'était qu'un groupe de religieux de coin qui avait ouï dire sur le village et partit en expédition punitive ?

Cette hypothése venait du lieutenant Léon Daminsky. Un exellent gradé pour diriger des hommes dans la bataille, mais qui n'avait que trés peu d'imagination sur le plan tactique a long terme, un homme fait pour l'action et non pour la reflexion. Alexeï attrapa la tasse de café fumant a côté de lui.

Non si ça avait été le cas, ils aurait brulé le village. C'est trop propre pour être l'action de quelques exités.

A ce moment un soldat des communication occupé avec la radio se levat.

Un message crypté envoyé par l'un des observateurs.

Alexeï attrapa la feuille et la lut, il pris une mine renfrogné, un autre village avait été frappé, une petite bourgagde au nors de Chiesnau, ce village n'était pas sous la protection de l'AP, mais il était jamais mécontent de rendre service aux créatures de la nuit qui arrivaient chez eux.

Alexeï se levat et se dirigeat vers une carte, scotché sur un pan de la tente. Elle représenté Chiesnau et ses environts dessus étaient écrit diverses anotation sur ce qu'ils savaient. Il fixa une pastille de couleur rouge sur le second village.

Il y a surement une logique dans tout cela. A t-on des nouvelles sur le papier brulé et la croix ?

Non les experts du QG sont toujours dessus.

A t-on une liste des villages qui soutiennent notre cause au ceux de notre race dans la région ?

Le soldat radio tendis un nouveau papier. Alexeï le regarda et compara avec ce qu'il voyait sur la carte.

Il s'en son prit a ce village, puis a celui-la, mais ils en ont evité deux autres qui ne nous sont pas affilié, sa sent le nettoyage ethnique.

Alexeï attrapa la veste de son treillis blanc et son bonnet de même couleurs.

Ont file dans le village de sympathisant le plus proche du dernier attaqué et au trot.

Quelque minutes plus tard les hommes du colonel avait pliés les tentes et éffacé toutes traces de leur passages, il fallait prendre d'infinit précaution pour évité que les autorités local ne soupçonne leur présence, il pouvaient graisser la pattes des haut placés du gouvernenement mais dans la campagne, un flic de village avait vite fait de faire du zéle et de les retarder pour plusieurs heures. C'est donc en évitant les grand axes et en se faisant le plus discret possible qu'ils arrivérent au village. Une petit haneau de quelque maisons, avec sa mairie, son église avec même un prêtre qui croyait en ses paroissiens. La nuit commencer. Alexeï se présenta seule a la maison du maire. Il frappa selon un code bien précis.

Un gros homme lui ouvrit, il ressemblait un peu a Pépone le maire du village de Don Camillo. Sans rien dire Alexeï entra dans la maison.

Vous devez partir du village, vous ainsi que tout ceux qui nous soutiennent.

Mais pourquoi, seigneur vampire?

Alexeï ne s'attarda pas sur le "seigneur" qu'il trouvait totalement idiot.

Parcequ'il se peut qu'un groupe de fanatique fasse irruption demain ou dans les jours qui viennent et je ne veux prendre aucun risque, mes hommes vous escorteront a un autre village plus loin.

Mais...mais...on ne peut...vos hommes doivent repousser ses barbares...nous n'allons pas payer pour vous, je vais avertir la police et...

Alexeï attrapa le gros moustachu par le col, le plaqua contre le mur et le souleva, l'electricité commençait déjà a réchauffer ses doigts.

Je n'ai pas le temps d'argumenter avec un sac de viande tel que vous, soyez heureux que je me préoccupe de votre sort et de celui de vos semblable, maintenant exécution !!!!

Il laissa choire le maire, qui aprés quelque instant compris qu'un voyage de quelque kilométres dans le froid de la nuit moldave valait mieux qu'une mort lente dans les mains du colonel.

Une heure et quelque injures et pression pour faire accelerer les choses plus tard, les habitants du hammeau etaient en route. Alexeï ordonna de commencer a partir sans lui toujour avec la même discretion. Une foix que tout le monde avait disparut dans la nuit, il alla jusqu'a l'église ou le prétre, le seul a ne pas avoir été mis au courant, résidait. Il frappa, l'homme d'église encore a moitié endormit ouvri, mais ne put faire autre chose car au même moment le fil du sabre cosaque d'Alexeï traversa l'espace tranchant net la carotide du vieux prétre qui mourut en se noyant dans son propre sang.

Lorsque le colonel partit a sont tour, le corps du prêtre pendait la tête en bas, le sang goutant sur un crucifix, devant la porte de son église, une inscription marqué sur le torse avec le doigt du colonel chargé a l'electricité.

"Continuez et se ne sera pas le dernier"